«Un voyage de milles lieues commence toujours par un premier pas.»
 
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 Lyvia Dragos

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Lyvia Meïern


Lyvia Meïern


Profil
Messages : 5
Rubis : 9
Réputation : 0
Date d'inscription : 23/01/2019
Fiche de personnage
Feuille de personnage
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Lyvia Dragos  Left_bar_bleue0/500Lyvia Dragos  Empty_bar_bleue  (0/500)
Caractéristiques:
CaractéristiquesPoitnsPoitns
ForceForce1
VigueurVigueur2
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RéflèxesRéflèxes2
ConstitutionConstitution1

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MessageSujet: Lyvia Dragos    Lyvia Dragos  Icon_minitime1Mar 29 Jan - 15:39 Revenir en haut Aller en bas


Identité

Âge -21 ans
Sexe -Femme
Race -Dragon
Lieu de naissance -DragonFolk

Situation actuelle

Lieu d’habitation -Nomade
Orientation sexuelle -Hétéro
Situation maritale -Célibataire
Rang- Aucun
Métier -Chanteuse/Compteuse
Finance-

Magie

Cette Magie permet à son utilisateur de créer et contrôler l'élément de la Glace. Plus cette magie monte en puissante, plus elle peut donner forme à cette glace. .

Inventaire

Arc en bois, vêtements simples, un petit livre de note avec une plume et un encrier. Quelques flèches, un demi-manteau munit d'un large capuchon.

Petites questions

En cas de départ,
que faisons-nous de votre personnage
[] L'ajouter aux PNJs.
[X] Le considérer disparu.
[] Le considérer mort.
(c)Codage en LS sur Never Utopia

Lyvia Dragos

« Qui marche dans la neige ne peut pas cacher son passage»

Physique

Nul ne sait vraiment ce qui se trame derrière mon regard émeraude ou encore lorsque mes lèvres rosés affichent un sourire, parfois taquin d’autre fois malin. Ma peau semble faite de porcelaine, froide et dépourvu d’imperfection. Certain dirons que je suis belle tandis que d’autre n’oseront pas lever les yeux vers moi. Ma beauté est tel qu’elle intimide les uns et gonfle le cœur de jalousie des autres. Certaines femmes ont des courbes bien généreuse afin de faire oublier la laideur de leur visage, pour ma part je dirais que de ce coter là j’en ai assez pour prouver que je suis bien une femme, s’il était plus gros je pense qu’ils me nuiraient plus que d’autre chose lors des chasses.

Ma forme terrestre ressemble en tout point aux humains. De taille moyenne, soit 1m60 je suis de constitution  délicat certes mais également fragile, je ne suis pas très forte même si je possède un corps légèrement musclé par ces années d’entrainement dans les terrains arides d’hiver. Du à mon alimentation restreins, mon corps ne possède que très peu de réserve de graisse.

Selon mes souvenirs, j’ai hérité des longs cheveux d’encre de ma mère, parfois attachés et d’autre fois libre dans le vent, ces derniers m’arrive à la naissance des fesses.

Pour ce qui est des vêtements, j’y vais avec la simplicité, j’ai toujours une petite robe caché dans mon sac afin de captiver l’Attention des regards lors de mes représentations.

Et puis, lorsque mon cœur se remplis de haine et que je n’arrive plus à avoir les idées claires, mes yeux iris deviennent azures, mes pupilles arrondies prennent la une forme vertical tel un chat. Mes os se broient et craques sans exceptions. La transformation est douloureuse et dur quelques minutes… Ma forme Draconien n’est pas dans les plus grandes, mais contrairement à mon père, fière dragon rouge et ma mère douce dragonne jaune, je suis complètement blanche tel la neige.  N’étant qu’encore jeune, je mesure plus ou moins 8,5 mètres lorsque je suis pleinement transformé. Donc je fais plus de 4 fois un homme de taille moyenne. Impressionnent, mais douloureux, j’ignore encore ce qui me pousse à reprendre ma forme humaine car j’ai souvent des blancs de mémoire lors de mes transformations soudaines.

De longues griffes coupantes ornent mes doigts légèrement palmé, ce qui m’aide à plonger dans l’eau rapidement pour m’y déplacer. Ma peau est robuste et composé de milliers d’écailles blanches comme neige, telle une armure naturelle le froid et les armes ont bien du mal à la pourfendre. Les petites écailles sont plus légèrement plus grandes tous le long de ma colonne vertébrale et terminent leurs courses au bout de ma queue qui mesure environs 2 Mètre. Mes dents sont pointue et blanches, coupante comme des lames de rasoir. En gros, je suis ce que vous appelez un monstre, mais chez moi je serais classifier de Dragon des neiges, membres rares des dragons qui autrefois se dévoilaient une fois la nuit tombé. Ma langue est tel la langue des reptiles, je communique donc par pensé, pouvoir caché de nos ancêtres.

Mental

Rien ne fait plus mal que la perte d’être aimé. Cette disparition laisse dans le cœur une marque indélébile, tel un trou sanglant qui laisse le mal entrée. Je me sens en morceau, comme s’il me manquait plusieurs pièces pour reconstituer mon cœur et mon âme. Les images du passés, me hantent encore aujourd’hui, réduisant mes nuits à des sanglots et des éternelles interrogations. Même enfant, j’ai toujours eu du mal avec mes émotions, mais aujourd’hui je suis à fleur de peau, je ne sais pas si j’ai enfin de pleurer ou de crier. Comme si j’étais déchiré entre la peine et la colère et cela active en moi ma transformation.

J’aimerais tant pouvoir faire confiance aux gens qui m’entourent afin de laisser ma douleur s’estomper. Mais il y a toujours cette petite voix qui résonne, qui me somme d’arrêter de croire en la bienveillance de ce monde. La haine, a détruit ma vie, cette haine qui réside dans le regard sombre des démons et dans le sourire des anges, tout comme l’égoïste humain qui ne pense qu’a son intérêt personnel.

Personne ne peut me comprendre, personne ne peut comprendre cette douleur qui me détruit de plus en plus chaque jour, je souffre d’être seule, je souffre de devoir parcourir le monde afin de me raccrocher à l’illusion qui est l’espoir, l’espoir de voir les yeux d’un des miens, mais s’il advenait que je parcourais le monde sans trouver personne…. Le simple fait d’y penser crée dans mon cœur une peur, je suis si faible j’ignore si j’arriverais à survivre et j’ignore encore pourquoi je suis vivante.

J’ai la rage, la rage contre ces démons, ces anges et ces humains qui se pensent tout permis, je compte bien leur faire comprendre un jour, leur faire ressentir cette douleur qui est mienne. Je dois toutefois pour le moment, mettre sur mon visage crisper par la colère, un masque ou se dessine un sourire en leur présence. Même si les raisons m’échappent de ma survie, je ne compte pas mourir avant de tous les avoirs vu souffrir. Ils nous ont traité comme des monstres et bien je vais en devenir un…

Biographie

Le regard fixé sur l’horizon je laisse mon esprit suivre le vent. Même si mon royaume est de l’autre coter de cette mer affolé, j’arrive à sentir l’odeur du bois qui brûle, je peux encore entendre le hurlement de douleur de femmes tranchées par l’acier. Les yeux bleutés de mon père qui me pousse de haut de la falaise me hante encore l’esprit. Mon petit corps est meurtrit par cette chute et épuisé par ma lutte contre le courant qui sens aucune pitié ma rejeter dans cette mer. Personne, n’est venu à mon secourt, seule sur un débris, je me suis laissé porter par le courant. Le soleil meurtrier me brûlait la peau et le manque d’eau m’asséchait la gorge. Toutefois la mort n’est pas venu jusqu’à moi, le destin avait probablement d’autre plan, le bout de bois vient terminer sa course sur du sable fin et blanc, là où je me tiens désormais, le visage couvert de sang, les mains tremblantes et le cœur remplis de cette noirceur.

Mon père m’avait autrefois parlé de l’autre monde, ce continent où vivaient démons et humains. Là ou une guerre menée par la haine du passé fessait rage. Personne n’avait imaginé que cette guerre détruirait notre royaume. Les larmes ne coulaient plus de mes yeux, moi qui avait passé des jours à pleurer, cette tristesse amer avait laissé place à une rancœur. Une haine qui se mélangeait avec mon sang impur aux yeux de tous. C’est sur cette plage que je me fis une promesse, de devenir assez forte pour ne plus perdre personne de ma famille. J’avais espoir de retrouver mes frères sur ce continent, il était à mes yeux impossibles que je sois la seule survivante de ce massacre.

Les beaux jours étant envolés, il ne restait plus que des souvenirs de ce passé. 6 ans, seule et apeurée j’ignorais où aller. Je me suis mise alors à marcher suivant la mer, mes pieds avaient bien du mal à avancer et mon petit corps tremblait de froid. Mais cette chaleur de mon cœur et cette petite voix dans mon esprit me forçait à avancer. Cependant, même avec tout le vouloir du monde je ne pus m’empêcher de sombrer dans l’inconscience.

Je ne sais combien de grains de  sables sont tombés dans le sablier du temps, mais lorsque j’ouvris les yeux je me retrouvais allongé dans un petit lit. Sombre et petite, la chambre ou je me trouvais était étrangement réconfortante, tout comme l’odeur alléchante qui semblait venir du premier étage. La curiosité, un de mes plus grands défaut surpassa ma peur et je pris la direction de l’escalier. Le vieux bois du plancher craquait sous mes pieds nus qui se déposait doucement sur chaque marche afin descendre. Tout en bas se trouvait une petite cuisine, sur la table de bois un bol avait été laissé avec du pain. Je venais de trouver la source de cette odeur et sans me soucier des dangers qui m’entouraient je pris place afin de dévorer cette soupe de légume. Puis je sentis sur moi un regard dépourvu de malice. Un vieil homme se trouvait au bout de la pièce, ses yeux gris m’observaient un moment.

«Oh c’est bien, tu es enfin réveillé» Me dit-il d’une voix calme et remplis de douceur.  Je me redressais rapidement de ma chaise cherchant la sortie des yeux, voyant la peur qui m’envahissait il se mit à rire

«Calme-toi petite, je ne te veux aucun mal. Si tu t’affoles tes blessures ne guérirons jamais» Il venait de s’approcher de moi. Il avait raison, j’étais plutôt mal au point, déjà mon corps c’était mis à trembler et mes peu de force s’envolait dans les airs. Il s’était rapproché afin de me prendre dans ces bras et ce fut plus fort que moi je me suis mise à pleurer. Mais que voulez-vous, je n’avais que 6 ans à l’époque. L’odeur de l’homme était si apaisante et son corps si chaud qu’il me rappelait mon grand-père.

J’ignore encore si c’est pour cette raison que je suis restée avec lui, lui qui n’avait ni femme ni enfant et qui se sentait bien seul. Lorsque mes blessures n’étaient que souvenir sur ma peau, il me demanda si je voulais devenir sa fille. Ce n’était qu’un simple humain qui traînait derrière lui un lourd passé, il n’avait rien avoir avec les démons qui avaient attaqué le royaume. Je savais que j’étais trop jeune pour partir seule et j’avais bien trop peur. Je restai donc avec lui, ignorant ses questions sur mon passé, puis avec le temps il abandonna l’idée de savoir.

Le temps passait, mais cette douleur dans mon cœur ne voulait se refermé, je ressentais toujours cette haine en moi, tel un liquide visqueux qui se mélangeait avec mon sang. Le vieil homme n’était pas dupe, il se doutait bien que quelque chose n’allait pas, mais il continuait à veiller sur moi malgré mes cauchemars nocturne et mes nuits d’insomnies. Il m’arrivait souvent de m’enfuir de la maison afin de me retrouver seule dans les bois, afin de frapper sur des arbres avec des bâtons, que voulez-vous, le veille homme ne voulait en aucun cas me montrée comment me défendre, je n’avais donc pas le choix de l’apprendre seule. Plus je grandissais, plus cette vie me semblait calme et paisible, le travail des champs était devenue amusant, j’adorais les animaux de la ferme et j’avais développé quelque amitiés avec les gens du village, village que je me rendais souvent pour observer l’entrainement des jeunes garçons ou encore pour aider Julia à la taverne en lavant les chaudrons. C’était une façon d’amener un peu d’argent afin d’aider le vieux. Parfois lorsque je souriais ou riait, il y avait cette petite voix dans mon esprit qui me disait que je n’avais pas le droit d’être heureuse, car je mentais à tout le monde.

Ce secret sur mes origines allait bientôt me submerger et ce qui devait arriver arriva. Je venais d’avoir 11 ans, âge de développement emportant pour mon espèce. J’étais dans le champ et le soleil était à son déclin à l’horizon, des cavaliers venaient d’arriver sur les terres et se dirigeaient en direction de la maison. J’avais ce mauvais pressentiment, le vieux ne semblait pas heureux de les voir arrivés et il me demanda de rester bien sage dans le prés. Je pouvais les voir au loin mais le vent camouflait leurs paroles.  

Cette chaleur, la même que sur cette plage me revient dans le cœur. Cette fois une douleur l’accompagnait, les mains sur la poitrine j’étais plier en deux le souffle coupé…. Mes yeux si verts venaient de changer drastiquement de teinte tirant désormais sur le bleu, mes pupilles habituellement rondes n’étaient plus que des fines lignes verticales. Ma peau dégageait une forte chaleur qui venait de faire prendre en feu les hautes herbes qui m’entourait. La panique s’éprit de moi et ma vision se troubla sans rien comprendre je perdis conscience.
Je n’étais pas prête, pas prête à vivre cette transformation, mais lorsque je reviens à moi, la nuit était déjà tombé et je me trouvais complètement nu dans la forêt, le corps recouvert de sang un drôle de gout en bouche… Mais aucune blessure.

Mon corps tremblait et cette douleur était encrée dans mes os, d’un pas chancelant j’approchais de l’orée des bois, la vision qui s’affichait devant moi me pétrifia sur place. Au loin un énorme brasier prenait place là ou avant se dressait la ferme. Je me suis mise à courir, ignorant le hurlement de douleur de mes articulations. La ferme était complètement en feu, comme les champs, les corps des cavaliers avaient été mutilé et se retrouvaient un peu partout dans des mares de sang…  Puis, mon regard croisa les yeux gris du vieil homme, agonisant sur le sol. Je m’approchais de lui en panique, mais lorsque ses yeux se posaient sur moi je peux y lire la terreur qu’il ressentait désormais à mon égard. Il ouvrit les lèvres afin de crier mais rien ne sorti, puis la vie quitta son regard. Les larmes se mirent à couler les longs de mes joues, mais la voix de gens qui s’approchaient me fit prendre le chemin inverse. Retournant dans la forêt je regardais une dernière fois le brasier qui venait d’effacer ce temps passé, puis je pris fuite dans la noirceur des arbres.

J’avais longtemps fuit le passé, fuit qui j’étais et ce qui était arrivé aux miennes. Mes origines m’ont rattrapé et aujourd’hui je ne souhaite plus fuir. Il y a quelques choses à l’intérieur de moi qui hurle de colère afin de sortir. Je dois apprendre à contrôler cette rage, car si elle sort de nouveau et que je perds le contrôle il y aura d’autre innocent qui risque d’y laisser la vie.  C’est pour cette raison, que je suis resté dans cette forêt, loin des êtres vivants afin d’apprendre qui j’étais. Toutefois la haine n’est pas un champ de tomate, même on fait preuve de patience et de bonté, la haine reste toujours encrée. Je ne suis pas un monstre, c’est les autres qui on fait de moi ce monstre, avant leur arrivé la vie était calme et paisible. Il fut dur de rester seule dans ses bois, la peur se trouvait partout autour de moi, puis la faim et le froid. Le vieux m’avait montré certes à prendre soin d’un champ et d’animaux, mais il ne m’avait pas appris à chasser ou encore à me battre convenablement et les peux de fois où j’avais eu la chance de regarder les hommes faire au village ne m’avait pas appris grand-chose. Ce défis, je devais le réaliser seule, je devais apprendre à contrôler cette chaleur qui inondais tout mon corps. Ce ne fut pas facile à la limite de l’impossible, debout en milieu d’une rivière, dos à la cascade je cherchais à faire taire cette rage et lorsque je sentais mon corps devenir bouillant je reculais sous l’eau froide qui venait directement des hautes montagnes. La forêt n’était point sur, car les gens y voyageait souvent, je n’eus le choix de continuer mon chemin jusque sur les monts enneigés. Là où la nourriture était encore plus dure à chasser et malgré le froid cette chaleur semblait toujours présente. Au moins le seul positif que je pouvais en tirer c’est de ne plus avoir froid.

20 années c’étaient écoulés depuis ma venue au monde, debout au bord de la falaise enneigé, mon regard observait au loin les royaumes qui semblaient si loin.  La solitude devenait pesante même si j’avais fait quelques rencontres dans la forêt. Le vent jouait dans mes cheveux retenu par un large capuchon recouvert de frima. Mon cœur était calme et ma respiration lente, je n’avais pas réussi à faire disparaître cette haine qui était en moi, elle avait même grandit avec le temps mais la rage de mon cœur était endormie. Il était temps pour moi de retrouver les miens et de retrouver les gens qui avaient détruit le royaume ou j’avais vu le jour. Je ne contrôlais toujours pas ma transformation mais mon vrai pouvoir c’était dévoilé à moi. Les flammes des dragons naissants c’étaient estompé avec les années laissant place à mon réelle pouvoir de dragon, car vous le savez ce n’est pas tous les dragons qui consume des flammes à l’intérieur d’eux. Pour ma part, le froid avait envie mon corps qui en avait fait sa demeure. La neige autour de moi tombait du ciel par millier, comme si la montagne pleurait mon départ qui était devenu inévitable. Adieux mon enneigé, tu as été pour moi un refuge et une maison.
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Lyvia Dragos
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